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Cet article présente des travaux de recherche concernant la mise en place d’outils informatiques pour utiliser le standard UNECE de découpe des carcasses bovines. Ces travaux utilisent la démarche ontologique, c’est-à-dire une représentation non équivoque des concepts.
Personne ne doute que les procédures standardisées concernant l’utilisation du matériel technique, les procédures de sécurité, la vérification de la qualité sanitaire des produits faisant l’objet d’un échange commercial, etc., sont utiles et, parfois, indispensables pour le bon fonctionnement des échanges commerciaux. Ces procédures standardisées se sont peu développées dans le domaine de la production de la viande. Ainsi, au cours des transactions commerciales, à chaque étape de la chaîne de production de viande, les référentiels (ou standards) devraient faciliter la communication entre l’acheteur et le vendeur, permettre de comparer les offres et, finalement, faciliter la satisfaction du client qui se verra proposer un produit qui répond à ses attentes. Les standards sont également importants dans le monde de la recherche-développement par exemple pour enregistrer les caractéristiques des animaux à des fins d’amélioration génétique. Ainsi, la communauté internationale représentée par le groupe ICAR (International Committee for Animal Recording, ICAR, http://www.icar.org/) produit régulièrement un document intitulé « INTERNATIONAL AGREEMENT OF RECORDING PRACTICES » dans le cas des ruminants.
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Cet article reprend les principaux résultats d’une étude menée par l’Institut de l’Elevage (idele) à la demande et avec le soutien du Centre d’information des viandes. Le compte-rendu final est paru en décembre 2012 dans la collection Résultats de l’Institut de l’Elevage (http://idele.fr/recherche/publication/idelesolr/recommends/alimentation-des-bovins-rations-moyennes-et-autonomie-alimentaire.html).
L’étude menée en 2012 montre la place importante de l’herbe dans les rations, que ce soit de l’herbe pâturée ou conservée sous diverses formes (64 % en moyenne pour le cheptel laitier et allaitant et 80% si l’on ne considère que le cheptel allaitant destiné exclusivement à la production de viande). Elle fait également apparaître l’importante autonomie des exploitations d’élevage bovin, puisqu’en en moyenne 88 % des aliments qu’ils consomment sont produits sur la ferme même et environ 95 % sur le territoire français.
L’étude vise à caractériser les profils d’alimentation des troupeaux bovins laitier et allaitant qui fournissent respectivement le 1/3 et les 2/3 de la viande produite en France. Ce que consomment les bovins est en effet au centre des préoccupations des consommateurs et citoyens et en lien avec l’image de l’élevage et de ses produits. Par ailleurs, l’alimentation des bovins dont la plupart des indicateurs économiques, sociaux et environnementaux des exploitations en dépend, est au cœur des questions de durabilité de l’élevage. Les données mobilisées pour ce travail concernent la campagne 2008 retenue en raison de l’absence d’aléas climatiques importants. Elles proviennent des exploitations suivies dans le cadre du dispositif des Réseaux d’Elevage, conduits en partenariat par l’Institut de l’Elevage et les Chambres d’Agriculture et les EDE (Etablissement Départemental de l’Elevage). Ce dispositif permet d’avoir une connaissance fine des différents systèmes de production, de leur fonctionnement et de leurs performances techniques et économiques.
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Cet article est un résumé d’une étude publiée dans Meat Science, 95 (2013), 616-620.
Aujourd’hui, les abattoirs démontrent un intérêt croissant vers les techniques capables d’évaluer l’état physiologique des animaux avant l’abattage afin de contrôler la variation de la qualité de la viande. La technologie infrarouge appliquée au niveau oculaire permet de détecter les changements de température associés à l’état physiologique des porcs avant l’abattage et pourrait s’avérer utile pour prédire la variation de la qualité de la viande de porc dans les conditions commerciales.
La thermographie infrarouge (TIR) est une technique non invasive qui permet de mesurer la température corporelle de surface d’un animal sans le toucher (Stewart et al., 2005). Par le passé, la TIR a été utilisée pour évaluer le bien-être des animaux au cours de pratiques courantes d’élevage, comme l’écornage ou le contrôle de l’état de santé des veaux (Stewart et al., 2008). En raison de l’association étroite entre l’augmentation de la température des muscles et la chute du pH au début de la période post-mortem (Klont et Lambooij, 1995), la TIR a aussi été utilisée pour déceler l’augmentation de la température des porcs manipulés avant l’abattage en vue de prédire la variation de la qualité de la viande (Gariépy et al., 1989). Les résultats de ces études n’étaient toutefois pas concluants. Peut-être que les instruments de TIR utilisés à l’époque étaient moins fiables que ceux qui existent aujourd’hui ou ce pourrait être le choix du dos de l’animal comme site anatomique pour la mesure de la température qui était moins approprié.
23 Jan 2019; 12:00AM Séance hebdomadaire de l'Académie d'Agriculture - Aspects sociétaux de la consommation de viande |
05 Fév 2019; 12:00AM 51èmes Journées de la Recherche Porcine |
26 Aoû 2019; 12:00AM 70ème Rencontre Annuelle de la Fédération Européenne des Sciences Animales |
04 Aoû 2019; 12:00AM 65ème Congrès International des Sciences et Technologies des Viandes (ICoMST) |
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